The set of the sails ...

The set of the sails ...

Wayfaring stranger

Un des plus vieux negro spirituals répertoriés. Il daterait de 1816. Repris au fil des décennies par des dizaines d'interprètes. Rappel : le seul accès de l'esclave noir à la "culture", c'est la messe du dimanche. Pour survivre à ses journées dans les champs de coton, il chante son espoir d'un avenir (outre-tombe) "without sickness, toil, or danger", qui succèdera à "this world of woe", ce monde de peine.

 





26/09/2012
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