Wayfaring stranger
Un des plus vieux negro spirituals répertoriés. Il daterait de 1816. Repris au fil des décennies par des dizaines d'interprètes. Rappel : le seul accès de l'esclave noir à la "culture", c'est la messe du dimanche. Pour survivre à ses journées dans les champs de coton, il chante son espoir d'un avenir (outre-tombe) "without sickness, toil, or danger", qui succèdera à "this world of woe", ce monde de peine.
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